Développer son activité à l’international, c’est grisant. De nouveaux marchés, de nouveaux clients, une croissance accélérée… Mais c’est aussi un terrain miné si les risques ne sont pas bien identifiés.
Car oui, vendre à l’export, ce n’est pas seulement traduire une facture en anglais ou ouvrir un RIB en devise.
C’est gérer une complexité juridique, logistique, politique, parfois culturelle, bien différente de la routine nationale.
Trois angles de risque à ne pas sous-estimer :
- Le risque client : est-il solvable ? fiable ? susceptible de faire défaut ? (et comment le savoir dans un autre pays ?)
- Le risque pays : quelles sont les règles locales ? Y a-t-il des tensions politiques ou des restrictions douanières ?
- Le risque de non-paiement : litiges, absence de recours, lenteur judiciaire… une créance internationale mal cadrée, c’est une perte presque assurée.
Le problème ?
Trop d’entreprises partent à l’international en “mode intuitif”, sans méthode d’analyse structurée.
Et les Credit Managers se retrouvent seuls à courir derrière des paiements impossibles à sécuriser en amont.